Année : 1910 Artiste : Louis-Philippe Hébert, réalisé par la fonderie Roman de New-York Lieu : face au presbytère, à l'angle des chemins Saint-Henri et Sainte-Marie
Sculpture en bronze réalisé par l'artiste Louis-Philippe Hébert, l'œuvre représente Pierre Le Gardeur de Repentigny, seigneur, dès 1647, de la seigneurie de Repentigny. Elle fut commandée pour le 160e anniversaire de la paroisse en 1910.
Le 30 septembre 1950, le buste est placé sur le terrain situé en face de l'église. Ce terrain appartenait alors à la Fabrique Saint-Henri de Mascouche. Depuis, le monument fait face au presbytère.
Lieu : Légion royale canadienne no 120 (225, chemin des Anglais)
Les canons et les plaques commémoratives rappellent que quatre soldats, originaires de Mascouche, sont morts lors de la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit d'Alex Cantley, Robbie Cantley, J.D. Williams et Earnie Bell.
Cet espace rend hommage à notre ville jumelle, Talant, située en France. Construit sur un talus, le relief du parc rappelle celui de Talant. Un clin d'œil naturel à notre lien d’amitié.
Les petites maisonnettes, fabriquées à partir de bois revalorisé provenant du chemin des Anglais, sont des lieux pensés pour favoriser les échanges. Quant aux placottoirs, ils incarnent le dialogue et la complicité entre nos deux communautés.
Depuis 40 ans, Mascouche et Talant partagent un jumelage riche en découvertes, en échanges et en valeurs communes. Une relation durable qui repose sur l’ouverture, l’amitié et la solidarité.
Année : 2000 Artistes : Suzanne Brunelle et Jan Stolh Lieu : hôtel de ville (3034, chemin Sainte-Marie)
Le 5 février 2000, le comité organisateur du 250e anniversaire de Mascouche dévoile, sur le terrain de l'hôtel de ville, une pierre commémorative, en hommage aux Sœurs de la Providence.
Cette communauté religieuse occupa le couvent de 1855 à 1965 afin d'offrir une maison d'éducation aux jeunes filles et de fournir un refuge aux orphelins, aux personnes âgées et aux infirmes.
Cette plaque commémorative rend hommage à Paul Gohier, décédé le 15 octobre 2008. Ce robuste citoyen, très actif auprès de l'Association de soccer, est à l'origine du projet de parc de soccer et du terrain synthétique.
Année : 2010 Artiste : initiative de la Table de concertation des groupes de femmes de Lanaudière Lieu : parc du Grand-Coteau (boulevard de Mascouche / rue Lapointe)
Une plaque commémorative et un érable Namur (érable de l'amour) témoignent d'une manifestation organisée par la Table de concertation des groupes de femmes de Lanaudière. Cette marche visait à revendiquer la paix et la démilitarisation et de manifester leur soutien aux femmes du monde entier qui doivent encore vivre avec la violence et l'oppression.
En ayant fait ériger ce monument en 1918, les paroissiens de Mascouche voulaient implorer le Cœur sacré de Jésus afin que cessent les hostilités de la Première Guerre mondiale. Le monument a également été édifié pour commémorer les victimes de la Première Guerre mondiale, celles de la grippe espagnole et les personnes autrefois inhumées dans le cimetière.
La statue est située sur l'emplacement de l'ancien cimetière de Mascouche, en usage de 1750 à 1907.
Le monument du Sacré-Cœur fait partie du Noyau institutionnel Saint-Henri-de-Mascouche.
Année : 2000 Artiste : œuvre dessinée par l'architecte Pierre Daoust et réalisée par l'entreprise Saramac Lieu : pavillon du Grand-Coteau (2510, boulevard de Mascouche)
Signe du temps qui passe, l'œuvre symbolise le lien entre les générations d'hier et de demain.
L'obélisque renferme plusieurs objets qui ont été déposés comme autant de témoins de la vie et de la culture mascouchoise.
Année : 2004 Artiste : travaux réalisés par les employés de la Ville de Mascouche sous la direction de Bruno Bellerose, directeur des activités sportives et parcs Lieu : parc du Grand-Coteau (boulevard de Mascouche / rue Lapointe)
Cette halte a été aménagée en mémoire de monsieur André St-Pierre, cycliste chevronné, copropriétaire de la boutique Centre du Vélo, qui est décédé en 2003 à l'âge de 39 ans lors d'une sortie à vélo.
La Place André-St-Pierre, située le long de la piste cyclable, est recouverte de pavés dont l'agencement représente une roue de vélo. Une magnifique plaque de bronze s'y trouve en son hommage.
Cette statue a été érigée afin de perpétuer la mémoire de la coureuse olympique décédée d'un accident de voiture en 2006.
Dans le but de propager le message de l'athlète sur l'importance de demeurer actif et en santé, la Classique Émilie-Mondor a fait rayonner le parc du Grand-Coteau pendant 13 ans en accueillant des milliers de coureurs de la région et d'ailleurs.