Récupération d'objets lors du grand nettoyage de la rivière Mascouche par COBAMIL. Une œuvre rassemblée représentant le cimetière d'objets qu'était devenue la rivière au fil des ans.
Continuum renvoie à un ensemble d'éléments entre lesquels le passage est continu. L'œuvre évoque l'image d'un train se déplaçant sur des rails. La sculpture termine sa course en une forme de goutte qui nous donne l'impression de voir un objet en mouvement croqué sur le vif.
Année : 2012 Artiste : Lalie Douglas Lieu : École Aux 4 Vents (3000, avenue Bourque)
La maison rappelle le partenariat étroit entre la famille et l'école pour assurer la réussite de l'élève. Symbole du passé, les racines représentent les parents, les aînés, la culture et le patrimoine qui forment la base de l'éducation. Finalement, les étoiles symbolisent l'avenir des étudiants et les incitent à rêver d'aller jusqu'aux étoiles.
Année : 2009 Artiste : Guy Nadeau Matériaux : acier galvanisé, aluminium et laiton Lieu : Centre sportif René-Lévesque (2936, rue Dupas)
Chaque élément de la sculpture représente les vocations du Centre sportif. L'aire de jeu est représentée par un damier de cinq cases sur cinq cases. Les gradins sont mimés par deux plaques coupées en palier. Le banc des joueurs est reproduit au pied de l'emboîtement. Les marques de territorialité sont suggérées au sol. Trois accessoires de jeu sont incrustés dans les plaques de damier.
Année : 2009 Artiste : Jacek Jarnuszkiewicz Lieu : Quartier général de la Sûreté du Québec (3005, avenue de la Gare)
Le premier des deux éléments qui composent l'œuvre renvoie à l'arbre. Son tronc porte une branche, mère de toutes les branches, et une grande feuille marquée par une sorte de scarification, de signes qui évoquent la multiplicité et la diversité des éléments formant la polis et le tissu social.
Le second élément est un tuteur. Il accompagne le tronc de l'arbre. Parfaitement vertical, il symbolise la police, son idéal moral et éthique, ainsi que sa fonction pratique de soutien.
Année : 2009 Artiste : Linda Covitù Lieu : Coopérative Le Chez-Nous du communautaire (2500, boulevard de Mascouche)
Cette installation, en trois sculptures, représente la luzerne, le maïs et le soya, principales cultures de Mascouche et références à son histoire agricole.
La luminosité changeant au gré des saisons, le jeu d'ombres et de lumières se renouvelle constamment à travers les découpes de plante dans la plaque d'acier inoxydable.
Année : 1999 Artiste : Jan Stohl Lieu : Bibliothèque municipale Bernard-Patenaude (3015, avenue des Ancêtres)
L'œuvre laisse voir un globe universel composé de bandes de granit de différentes couleurs dont les extrémités forment des mains ailées. Celles-ci renvoient à l'orientation des quatre points cardinaux et à l'interaction des éléments dans l'univers.
Année : 1992 Artiste : Dominique Valade Lieu : École Pinewood, campus A (412, chemin des Anglais)
Cette œuvre symbolise la connaissance, le jeu et la vie. Des silhouettes d'enfants constituent le cœur de la sculpture.
Les arbres traduisent la précarité de l'environnement alors que les ballons rouges mettent en évidence les valeurs positives de l'amitié, de la connaissance et du dépassement de soi.
Cette œuvre, en deux parties, représente le ciel, les signes du zodiaque et le mouvement céleste. La première partie de l'œuvre se trouve dans la cafétéria de l'école et se compose de neuf boîtes lumineuses et de quatre plaques de bronze.
Située à l'extérieur, dans la cour, la deuxième partie de l'œuvre se compose d'une plaque de bronze posée sur une base de ciment.
Artiste : D. Antonio Di Guglielmo Lieu : Poste de police (822, rue Brien)
« Selon moi, l'image de Poseidon dans cette œuvre est une métaphore de la vie humaine démontrant l'adaptabilité de l'homme à son environnement.
Cette sculpture révèle le reflet d'un visage humain vu à travers une masse d'eau avec les yeux qui suivent les mouvements de son entourage. » – D. A. Di Guglielmo
Infinité représente une sorte d'échantillonnage d'un monde fantaisiste, inspiré d'animaux et de plantes. Avec ce double niveau de lecture, on se laisse surprendre. En effet, à force d'observation, l'œuvre devient un objet de contemplation, de découverte et même un jeu, autant pour les jeunes que pour les moins jeunes.
Année : 2015 Artistes : Gaston Beaulieu, Hélène Lauzon et Ginette Beaulieu Lieu : hôtel de ville de Mascouche (3034, chemin Sainte-Marie)
Cette œuvre représente les armoiries de la Ville de Mascouche. Henri II fut roi de Bavière en 995, roi de Germanie en 1002 et enfin, empereur d’Allemagne de 1014 à 1024. C’est pour rappeler Saint-Henri que l’aigle à deux têtes figure dans les armoiries de la municipalité de Mascouche.
La fresque nous ramène dans les années 1950, au coins des rues English et Poplar, alors qu'on nommait encore ce quartier Terrebonne Heights.
Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière versée en vertu de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications.
Année : 2016 Artistes : MURIRS (Murales Urbaines à Revitalisation d’Immeubles et de Réconciliation Sociale) Recherches historiques : Jean-Claude Coutu, historien local et la Société d’histoire de Mascouche Lieu : Temporairement entreposée suite à l'incendie du bâtiment du 2992, chemin Sainte-Marie
La scène se déroule en plein cœur du village de Mascouche, en mai 1936, devant la boucherie d’Ovila Patenaude, située au coin des rues Nouvelle et Sainte-Marie. Propriété de sa mère, Philomène Beauchamp, que l’on aperçoit à la fenêtre, il y a exercé son métier de 1933 à 1940.
Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière versée en vertu de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications.
Cette murale souligne le lien entre le fondateur du Jardin Moore et la propriétaire du manoir seigneurial dans les années 1940-50. L’endroit où est située l’œuvre était appelé, à l’époque, « La côte de la millionnaire ».
L’œuvre originale a été détruite en 2020 en raison de forts vents. L’œuvre actuelle est une reproduction numérique sur aluminium.
Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière versée en vertu de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications.
Année : 2022 Artiste : Gilles Boisvert Lieu : chalet d’accueil du parc métropolitain du Domaine-Seigneurial-de-Mascouche (300, place des Rapides)
L’œuvre est une impression numérique sur pellicule laminée sur verre. Bien qu’abstraite, l’image, par la dynamique des gestes, rappelle la nature environnante et les pousses de végétation. Elle est comme un reflet-miroir du bleu du ciel et des ocres des graminées qui poussent devant l’édifice. En concevant l’image, l’artiste professionnel Gilles Boisvert a souhaité souligner la forme triangulaire de la fenestration dont chaque fenêtre verticale amène le regard vers le haut.
Cette œuvre est issue de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du ministère de la Culture et des Communications.
Année : 2022 Concept et réalisation : Art Partage Fabrication : Infravert Recherche et idée originale : Société d'histoire de Mascouche Lieu : Place du Village Dionis-Chaput (2875, chemin Sainte-Marie)
Le banc de Marie-Louise est une œuvre d’art sonore et interactive installée au cœur du noyau villageois de Mascouche pour mettre en valeur la mémoire collective et rendre hommage au personnage de Marie-Louise Desjardins.
L’œuvre se présente comme un banc où Marie-Louise est assise avec ses 77 chats. Alors que l’on prend place sur ses genoux, elle nous parle de la pluie et du beau temps, des saisons, et nous raconte des histoires et des anecdotes du coin. Elle qui fut l’objet de bien des quand-dira-ton prend à présent sa place et se fait entendre à son tour.
Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière provenant de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications.
L’œuvre sculpturale monolithique L’Enjambée ouvre la marche vers le sentier du Lac Long. Inspirée par la vocation du site, la montagne porte sur elle l’empreinte des modes de déplacements qui y ont cours : vélo, raquette, ski de fond, équitation, marche et course. Montée sur ses 2 pattes, L’Enjambée semble prête à avancer.