Oeuvres d’art public
Monument à la rivièreAnnée: 2016 Récupération d’objets lors du grand nettoyage de la rivière Mascouche par COBAMIL. Une œuvre assemblé représentant le cimetière d’objet qu’était devenue la rivière au fils des ans. |
ContinuumAnnée: 2014 Continuum renvoie à un ensemble d’éléments entre lesquels le passage est continu. L’œuvre évoque l’image d’un train se déplaçant sur des rails. La sculpture termine sa course en une forme de goutte qui nous donne l’impression de voir un objet en mouvement croqué sur le vif. |
D’où venons-nous/où allons-nousAnnée: 2012 La maison rappelle le partenariat étroit entre la famille et l’école pour assurer la réussite de l’élève. Symbole du passé, les racines représentent les parents, les aînés, la culture et le patrimoine qui forment la base de l’éducation. Finalement, les étoiles symbolisent l’avenir des étudiants et les incitent à rêver d’aller jusqu’aux étoiles. Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
Espace latentAnnée: 2009 Chaque élément de la sculpture représente les vocations du Centre sportif. L’aire de jeu est représentée par un damier de 5 cases sur 5 cases. Les gradins sont mimés par 2 plaques coupées en palier. Le banc des joueurs est reproduit au pied de l’emboîtement. Les marques de territorialité sont suggérées au sol. Trois accessoires de jeu sont incrustés dans les plaques du damier. Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
Arbre citéAnnée: 2009 Le premier des deux éléments qui composent l’œuvre renvoie à l’arbre. Son tronc porte une branche, mère de toutes les branches, et une grande feuille marquée par une sorte de scarification, de signes qui évoquent la multiplicité et la diversité des éléments formant la polis et le tissu social. Le second élément est un tuteur. Il accompagne le tronc de l’arbre. Parfaitement vertical, il symbolise la police, son idéal moral et éthique, ainsi que sa fonction pratique de soutien. Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
Champ fleuriAnnée: 2009 Cette installation, en 3 sculptures, représente la luzerne, le maïs et le soya, principales cultures de Mascouche et références à son histoire agricole. La luminosité changeant au gré des saisons, le jeu d’ombres et de lumières se renouvelle constamment à travers les découpes de plante dans la plaque d’acier inoxydable. Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
Envolée imaginaireAnnée : 1999 L’œuvre laisse voir un globe universel composé de bandes de granit de différentes couleurs dont les extrémités forment des mains ailées. Celles-ci renvoient à l’orientation des quatre points cardinaux et à l’interaction des éléments dans l’univers. Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
La grande envoléeAnnée: 1992 Cette œuvre est composée de 94 petites voitures en aluminium, peintes de couleurs vives qui sont fixées au mur extérieur de l’école. L’ensemble forme le contour d’une voiture grandeur nature aux phares allumés qui, dans les mots de l’artiste, « s’envole dans un paysage ». Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
La rondeAnnée: 1992 Cette œuvre symbolise la connaissance, le jeu et la vie. Des silhouettes d’enfants constituent le cœur de la sculpture. Les arbres traduisent la précarité de l’environnement alors que les ballons rouges mettent en évidence les valeurs positives de l’amitié, de la connaissance et du dépassement de soi. Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
Les histoires qu’on se conte IIAnnée: 1991 Cette œuvre, en deux parties, représente le ciel, les signes du zodiaque et le mouvement céleste. La première partie de l’œuvre se trouve dans la cafétéria de l’école et se compose de neuf boîtes lumineuses et de quatre plaques de bronze. Située à l’extérieur, dans la cour, la deuxième partie de l’œuvre se compose d’une plaque de bronze posée sur une base de ciment. Cette œuvre est née de la Politique d’intégration des arts à l’architecture (PIAA) du ministère de la Culture et des Communications du Québec. |
PoseidonArtiste: Antonio D. Guglielmo « Selon moi, l’image de Poséidon dans cette œuvre est une métaphore de la vie humaine démontrant l’adaptabilité de l’homme à son environnement. Cette sculpture révèle le reflet d’un visage humain vu à travers une masse d’eau avec les yeux qui suivent les mouvements de son entourage. » – D. A. Di Guglielmo |
InfinitéArtiste: Yolande Harvey Infinité, représente une sorte d’échantillonnage d’un monde fantaisiste, inspiré d’animaux et de plantes. Avec ce double niveau de lecture, on se laisse surprendre. En effet, à force d’observation, l’œuvre devient un objet de contemplation, de découverte et même un jeu, autant pour les jeunes que pour les moins jeunes. |
Vitrail des armoiries de la VilleAnnée: 2015 Cette œuvre, représente les armoiries de la Ville de Mascouche. Henri II fut roi de Bavière en 995, roi de Germanie en 1002, et enfin, empereur d’Allemagne de 1014 à 1024. C’est pour rappeler Saint-Henri que l’aigle à deux têtes figure dans les armoiries de la municipalité de Mascouche. |
De Terrebonne Heights à Mascouche HeightsAnnée: 2020 La fresque nous ramène dans les années 1950, au coin des rues English et Poplar, alors qu’on nommait encore ce quartier Terrebonne Heights. Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière versée en vertu de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications. |
Boucherie Ovila PatenaudeAnnée: 2016 La scène se déroule en plein cœur du village de Mascouche, en mai 1936, devant la boucherie d’Ovila Patenaude, située au coin des rues Nouvelle et Sainte-Marie. Propriété de sa mère, Philomène Beauchamp, que l’on aperçoit à la fenêtre, il y a exercé son métier de 1933 à 1940. Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière versée en vertu de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications. Note: L’œuvre est située sur la rue Dupras. |
Le jardin sur la côte de la millionnaireAnnée: 2015 Cette murale souligne le lien entre le fondateur du Jardin Moore et la propriétaire du manoir seigneurial dans les années 1940-50. L’endroit où est située l’œuvre était appelé, à l’époque, « La côte de la millionnaire ». L’œuvre originale a été détruite en 2020 en raison de forts vents. L’œuvre actuelle est une reproduction numérique sur aluminium. Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière versée en vertu de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications. |
Entre ciel et soleilAnnée: 2022 L’œuvre est une impression numérique sur pellicule laminée sur verre. Bien qu’abstraite, l’image, par la dynamique des gestes, rappelle la nature environnante et les pousses de végétation. Elle est comme un reflet-miroir du bleu du ciel et des ocres des graminées qui poussent devant l’édifice. En concevant l’image, l’artiste professionnel Gilles Boisvert a souhaité souligner la forme triangulaire de la fenestration dont chaque fenêtre verticale amène le regard vers le haut. Cette œuvre est issue de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du Ministère de la Culture et des Communications. |
Banc Marie-LouiseAnnée: 2022 Le banc de Marie-Louise est une œuvre d’art sonore et interactive installée au cœur du noyau villageois de Mascouche pour mettre en valeur la mémoire collective et rendre hommage au personnage de Marie-Louise Desjardins. L’œuvre se présente comme un banc où Marie-Louise est assise avec ses 77 chats. Alors que l’on prend place sur ses genoux, elle nous parle de la pluie et du beau temps, des saisons, et nous raconte des histoires et des anecdotes du coin. Elle qui fut l’objet de bien des quand-dira-ton prend à présent sa place et se fait entendre à son tour. Ce projet a été réalisé grâce à une contribution financière provenant de l’entente de développement culturel intervenue entre la Ville de Mascouche et le ministère de la Culture et des Communications. |
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L’EnjambéeAnnée : 2024 Dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics, l’œuvre sculpturale monolithique L’Enjambée ouvre la marche vers le sentier du Lac Long. Inspirée par la vocation du site, la montagne porte sur elle l’empreinte des modes de déplacements qui y ont cours : vélo, raquette, ski de fond, équitation, marche et course. Montée sur ses 2 pattes, L’Enjambée semble prête à avancer. |